La peur de Randal Kolo Muani 2.0 fait que le PSG abandonne la poursuite de Viktor Gyökeres

Une préoccupation croissante pour Paris Saint-Germain

La défaite 2-1 de Paris Saint-Germain contre l’Atlético de Madrid hier soir a mis en lumière une préoccupation croissante pour le club de la capitale. Malgré 22 tirs contre leurs visiteurs, le PSG n’a pas réussi à convertir ces chances et le club semble peu efficace devant le but en Ligue des Champions (trois buts en quatre matchs).

Des questions sur le recrutement estival du PSG

Des questions se posent sur le fait de ne pas avoir ciblé un attaquant lors du mercato estival, notamment lorsque le premier choix, Gonçalo Ramos (23 ans), a été écarté en raison d’une longue blessure après le premier match de la saison. Luis Enrique semble avoir peu confiance en Randal Kolo Muani (25 ans) comme option de remplacement. Le choix de jouer Marco Asensio (28 ans) ou Lee Kang-in (23 ans) en faux neuf en attendant le retour de Ramos semble efficace en Ligue 1, mais pas assez incisif pour faire la différence en Ligue des Champions.

Luis Enrique a été percutant dans ses propos hier soir en déclarant : « Apportez-moi l’attaquant si vous l’avez ! Où puis-je trouver cet attaquant ? » Viktor Gyökeres serait-il cet attaquant ?

Viktor Gyökeres : une solution potentielle

Viktor Gyökeres (26 ans) pourrait bien être cet attaquant. L’international suédois est en grande forme en ce moment et a inscrit un triplé contre Manchester City mardi. Cependant, selon Le Parisien, le PSG ne semble pas pressé de le recruter. Le média français écrit qu’ils sont refroidis par un montant attendu entre 75 et 100 millions d’euros. Ils craignent de dépenser une somme similaire à celle dépensée pour Kolo Muani, estimant que le prix de 90 millions d’euros du Français a créé trop de pression sur lui et a conduit à ses mauvaises performances.

Younès
Younès
Depuis mon enfance, le football a toujours été une de mes passions. J'adorais regarder les matchs de mon équipe favorite et passer du temps sur le terrain avec mes amis.