Formé aux Girondins, Didier Couécou, véritable machine à but des années 60 et 70 est passé à côté de sa carrière internationale mais pas de sa carrière en club, avec des passages fructueux à Marseille et Nantes, pour 3 titres de champion et une coupe de France. Combattif et volontaire, il savait jouer de son physique pour s’imposer dans les défenses
La fiche de Didier Couécou
Parcours en clubs :
1962 – 1969 | Girondins de Bordeaux | |
1969 – oct 1969 | Olympique de Marseille | |
nov 1969 – 1970 | OGC Nice | |
1970 – 1972 | Olympique de Marseille | |
1972 – oct 1973 | FC Nantes | |
oct 1973 – 1974 | Olympique de Marseille | |
1974 – 1976 | Girondins de Bordeaux |
Palmarès de Didier Couécou
- 1964 : Finaliste de la Coupe de France (Bordeaux)
- 1965 : Finaliste de la Coupe Charles Drago (Bordeaux)
- 1968 : Finaliste de la Coupe de France (Bordeaux)
- 1969 : Finaliste de la Coupe de France (Bordeaux)
- 1970 : Champion de France de D2 (Nice)
- 1971 : Champion de France (Marseille)
- 1972, Champion de France, vainqueur de la coupe de France (Marseille)
- 1973 : Champion de France, finaliste de la Coupe de France (Nantes)
- 1 sélection en équipe nationale
Biographie Didier Couécou
Sa carrière en club
Natif de Caudéran, Didier Couécou entre au centre de formation des girondins assez logiquement. Jeune avant-centre, capable de jouer un peu partout, au milieu, sur l’aile ou en pointe, il fait ses débuts en pro lors de la saison 1962-63, à 18 ans, durant laquelle il dispute 2 matchs. LA saison suivante, il gratte beaucoup plus de temps de jeu, en concurrence avec Karouga Keita et marque ses premiers buts. Bordeaux, qui évolue dans un style très défensif tourne assez bien en championnat. En Coupe, ils atteignent la finale, à laquelle Didier ne participe d’ailleurs pas, mais s’inclinent assez logiquement devant Lyon. L’année suivante, il poursuit sa progression, en même temps que toute l’équipe qui finit 2ème derrière Nantes. A partir de 1965, Didier est enfin à maturité et se met à collectionner les buts dans l’attaque girondine. Son entente avec Hector De Bourgoing et Laurent Robuschi fait merveille et il plante 17 fois en 22 matchs…insuffisant pour permettre à Bordeaux d’être sacrée. Les girondins terminent 2ème, à 7 points de Nantes.
Didier est retenu pour participer à la Coupe du monde 1966 en Angleterre. C’est un peu l’invité surprise mais ses stats plaident en sa faveur. Néanmoins, il ne disputera pas une minute d’un mondial raté dans les grandes largeurs. En fait, sa seule sélection, il la disputera contre le Luxembourg en 1967 dans un match qualificatif pour l’Euro 1968. Il forme l’attaque avec Charly Loubet et Georges Bereta. Lors de ce match, il offre une passe décisive à Loubet pour le 2ème de ses 3 buts. La France s’impose 3-1.
Avec Bordeaux, Didier est sous le signe de la poisse. Après une finale perdue en 1964 et 2 seconde place, les bordelais vont faire encore plus fort. Finaliste de la Coupe de France 1968, ils sont logiquement balayés par les verts, mais la saison suivante, alors qu’ils sont 2ème du championnat, ils perdent contre l’OM en finale de Coupe de France.
Pour vaincre le signe indien, il doit donc s’exiler et rejoint justement l’OM., qui enregistre également l’arrivée de Charly Loubet. Barré par Roger Magnusson et Yegba Maya Joseph, Didier ne joue quasiment pas. Début novembre, il est prêté à Nice, qui évolue ne D2. Lais aiglons jouent très défensif et Romain Arghirudis occupe seul la pointe de l’attaque. Didier ne trouve pas vraiment son compte. Il joue peu et marque encore moins… mais glane tout de même son premier titre, champion d eD2. C’est déjà ça. De retour à Marseille, il retrouve une place sur le banc, comme joker de luxe derrière le trident Loubet – Skoblar – Magnusson. Didier va s’accommoder de son statut et jouer le jeu avec une certaine efficacité (14 buts), marquant souvent des buts décisifs. L’OM remporte le championnat, un peu par son talent et beaucoup à l’affaire Carnus-Bosquier qui ébranle St Etienne. Loubet retourne à Nice à l’été 71 et lui laisse enfin un e place de titulaire. Dire va réussir peut-être une de ses plus belles saisons, avec 19 buts. L’OM, intouchable cette saison-là, fait le doublé Coupe-Championnat. A noter qu’ayant reçu un carton rouge, Couécou aurait dû manquer la finale, mais la mansuétude de la commission de discipline l’y aura autorisé. Ironie du sort, c’est lui qui marque le 1er but marseillais contre Bastia…
Avec le recrutement de Salif Keita, il est poussé vers la sortie et signe à Nantes, qui lui offre une place de titulaire en pointe. Bien secondé par Angle Marcos et le vieux Erich Maas, il va faire ne saison pleine, avec 17 pions, terminant meilleur buteur du club. Nantes remporte le championnat à la surprise générale, mais perd en finale de coupe contre Lyon. De cette saiosn on se rappelle notamment le quart de finale retour de coupe contre Sainté. Battus 2-0 à l’aller, les nantais l’emportent 5-1 au retour, après prolongation. Avant le match, Couécou avait déclaré que si Nantes se qualifiait, il rentrait au vestiaire à genou… ce qu’il a fait, après avoir inscrit 2 buts ! La saison suivante, il va quitter Nantes précipitamment au mois de novembre pour revenir à l’OMM, alors en crise. IL vient étoffer une attaque orpheline de Salif Keita et les recrus, (Raymond Kéruzoré et Antoine Kuszowski sont décevante). Malgré son arrivée et le changement d’entraineur, l’OM terminera la saison 12ème….
Homme de cause désespérée, Didier, alors en fin de carrière rentre à Bordeaux,, qui ne va pas très bien non plus. 5 ans après avoir quitté les girondins, l’équipe a complètement changé et les grands joueurs ne sont pas à chercher du côté du Haillan. Seul le jeune Alain Giresse et le gardien Philippe Bergeroo semblent vraiment prometteurs. Devant Jean-Pierre Tokoto est un sacré bouffeur de feuille. Bordeaux termine dans le ventre mou, et avec 10 pions Didier est 2ème meilleur buteur du club, à 1 unité de Giresse. La saison suivante, il va se blesser assez sérieusement et devoir mettre un terme à sa carrière de joueur à 31 ans seulement…
Que devient Didier Couécou ?
Après sa fin de carrière un peu prématurée, Didier Couécou est promu Directeur Sportif des girondins à partir de 1978. Le club vient d’éviter la relégation et le président d’alors, Jean Roureau, passe la main à Claude Bez, jusqu’alors trésorier. La nouvelle équipe, pleine d’ambition, souhaite monter enfin une grande équipe à Bordeaux. Les caisses sont vides, alors les bordelais achètent surtout des joueurs en fin de contrat. Petit à petit, ils vont bâtir une très grande équipe, qui va enfin remporter un titre de champion en 1984, 34 ans après le dernier. EN Coupe d4Europe, Bordeaux disputera la demi-finale de C1, perdu de justesse contre la Juve en 1985 et une demi-finale de C2 en 1987. Comme Directeur sportif, Couécou fera venir de grands entraineurs (on pense à Aimé Jacquet surtout) et une pléiade de bons joueurs (Bernard Lacombe, Patrick Battiston, Thierry Tusseau, Marius Trésor…)… Didier occupera même le poste d’entraineur en 1989, après le départ de Jacquet, avant de passer la main à Goethlas.
A force de provocations, de rivalités, et d’abus diverses, Bez finit par se faire trop d’ennemi. Bernard Tapie réussit à le faire tomber avec une affaire de fraude fiscale. La comptabilité girondine est alors épluchée et le club est relégué administrativement en 1991. Claude Bez, embourbé le feuilleton judiciaire du Haillan, quitte al présidence en 1990. Couécou va rester en poste encore 2 ans, afin d’assurer à Bordeaux la remontée.
Il se retire alors chez lui pour s’occuper d’un vignoble… Il reprendra du service en 1998 à Toulouse mais ne laissera pas un souvenir impérissable du côté des bords de Garonne, avec des recrutements foireux.
Aujourd’hui, il s’est retiré du football et s’occupe toujours de sa propriété viticole dans le Bordelais.
Salut Didier
Dans les années 60, sur la pelouse de Grand Lebrun il n’y en avait pas beaucoup qui osaient te tacler… Tu faisait un peu peur a tout le monde, même a AMIET ! En classe : un bon camarade qui distribuait facilement de magnifiques buvards avec ton nom écrit dessus. Pas vrai ?
Bravo pour ta carrière internationale !
bonjour mon 1er message n etant apparemment pas passe je le refais et surtout le completer car j avais oublier le principal.j etais dans une discotheque et il y avait zatelli etant un supporter de l om je m etais permis de l aborder et je lui avais demande pourquoi il ne faisait pas jouer couecou. il avait un peu mal pris et m avait repondu il n a pas le coup de rein et puis si chaque quartier fais son equipe ça c etait un peu vrais je lui avait repondu simplemment he bien on va voir point final de la conversation
il avait du me prendre pour un fada.le lendemain je redigeais 1 trac dans lequel je refaisais la composition de l equipe en y integrant didier que je faisais passer a la roneo et le le faisais distri buer dans marseille par mon frere et 3 autres amis dont 1 qui vit aujourd hui aux canaries et didier et devenu titulaire immediatement mon frere c etait presenter a lui dans les vestiaire pour lui dire que c etait nous qui avions fait ce tract peut etre que didier ne l avait pas cru mais il l avait tout de meme remercié
une nuit j avais rencontre zatelli et je m etais permis de lui poser la question pourqoui couecou ne jouait pas il l’avait presque mal pris il m avais repondu avec son accent pieds noir he il a pas l’coup de rein et puis si chaque quartier fait son equipe « je dois reconnaitre qu il vait raison a quelque part » ha bon et bien on va voir. le lendemain je redigeais mon tract que je faisais passer a la noneo et mon frere et 3 amis que je crois que vous avez vu dans les vestiaires les ont distribues j etais sur de mon affaire il fallais presque le faire expres pour ne pas le voir voila l affaire du tact amicalement dd
Je m’appelle Jean PUERT’AS. Je suis Marseillais et vie a Tenerife aux Canaries maintenant. En 1970 Je suis un des 4 Suporters de l’OM (du Quartier de Michelis a Marseille 11em) qui avait pensé et rédigé avec des Arguments le Trac en Faveur de Didier COUECOU pour qu’il soit Titulaire dans l’Équipe. On manifestait notre mécontentement parce que Zateli l’Entraîneur ne le faisait pas jouer. Et on en avait Raz le Bol. Donc ce trac on l’avait fait tiré à plusieurs Exemplaires. Et d’ailleurs c’est moi qui avait à l’Entrainement de l’OM au Stade Velodrome distribué le trac aux Supporters et ensuite à la fin de l’entraînement dans la Cours devant le Stade. Et Zateli l’Entraîneur qui sortait était venu se mélanger avec les Supporters mais j’était tellement motivé que devant lui j’ai continué à distribuer les Tracs.
Le Match d’après (un Dimanche Après Midi) Didier COUECOU était Titulaire dans l’équipe. Zateli l’entraîneur avait senti la Pression.
COUECOU avait fait un bon Match .Bousculé la défense adverse par son jeux Physique et moderne qui le caractérisait et était moderne et en Avance pour cette époque et très fort dans son jeux de tête (Style Anglais).L’OM avait gagné.
Après le match j’ai réussi avec 3 autres Amis à me faufiler dans les Vestiaires de l’OM COUECOU était au fond allongé en train de se faire masser. On est allé le voir et on lui a dit que c’est nous qui avions fait le Trac. Alors il a dit CHAMPAGNE et on l’a but Ensemble.
A partir de là il a été Titulaire fait de beaux Matchs et aidait bien le Duo Fabuleux qui nous faisait Rever : Josip SKOBLAR et Roger MAGNUSON. Et conquit des titres et Doublés avec l’OM. Et fut Sélectionné en Equipe de FRANCE. Il Parait que sur un de Tant de Livres sur L’OM il ont mit ce trac. C’ est Michel HIDALGO L’entraîneur et de l’Équipe de France qui l’avait dit à un des Ami qui avait participé à écrire le trac et ce à un Repas avec luia PARÍS.
Bien sur COUECOU J’avais continuer à le Voir jouer et le suivait dans sa Carrière mais je n’ai plus eut l’opportunité d’être en face de lui pour lui dire qui je suis et au Sujet du trac.
Je pensais et j’attendais qu’une Occasion se présenterai et Malheureusement c’est pas Arrivé. Et je viens de tomber sur ce cité.
Alors puisque son petit fils a laissé un mot je veut lui dire que son Grand Père était different il venait à l’Entraînement en SOLEX et Pantalon à Carreaux . Et bien sur chose qu’il a manifesté en parlant du Caractère bien trempé. Ton Grand Père n’avait pas peur et il rentrait dedans comme on dit à MARSEILLE.
COMME J’AURAI BIEN VOULU LE REVOIR
pour le lui Souvenir.
Couécou était un joueur que j’adorais, je l’ai souvent vu jouer avec L’OM quand mon père nous emmenait régulièrement au vélodrome, j’étais très jeune. J’ai toujours cherché la photo d’un but fabuleux (retourné acrobatique) qu’il avait marqué contre Nice en 74 au stade vélodrome un dimanche après midi (si quelqu’un a la photo…)
J’espère qu’il va bien
Bonjour !
Je suis son petit fils et je pense pouvoir vous retrouver cette photo je vous laisse mon mail pour me contacter ! edapb64@gmail.com
Pour ce qui est de mon grand père, il vit sa retraite paisiblement avec le genoux qui grince et toujours le même caractère bien trempé.
Edgar.
s
uper monsieur qui vient nous voir jouer a la pelote a SOURAIDE en buvant un petit TXAKOLI
il a été champion de france de grand chistera, (pelote basque) minimes, cadet, junior , à ses frères,
il dominait à l’époque
pour moi tu etais sublime je reve encore j ai joue au foot de la meme maniere que toi et cetait genial sans ton talent bien sur mais j ai pas donne ma part au chiens j luc
monsieur Couecou ,je garde un merveilleux souvenir j’ai joue’ contre vous un match de championnat de ligue 1 Angouleme -marseille et nous avons perdu 3-2 avec 3 buts de skoblar j’ e’tais arriere droit et vous jouez ailier gauche
Bonjour,
Je m’appelle Alexandra Chollet, je suis en première ES et je travaille sur un TPE. J’aimerai vous contacter pour savoir si vous sauriez comment contacter Didier Couécou pour une interview.
Merci de d’avance de votre réponse.
Alexandra Chollet